lundi 24 juin 2013

Dragon Magazine, Mars 1977 Vol. 1 no 5, #5


Dragon passe à 8 numéros par an.

Un article sur la sorcellerie dans D&D, dont l'auteur est inconnu : l'éditeur lui demande de se faire connaître. L'article en lui-même est une description de pouvoirs/sortilèges d'une sorcière, enrobé d'un peu de texte. Je l'ai trouvé profondément ennuyeux et, à ma connaissance, l'auteur ne s'est jamais fait connaître. S'il lit ce blog, qu'il sache qu'il est trop tard pour demander des droits d'auteur ou faire un procès à Gary.

Le monstre du mois : Anhkheg (illustrateur : Erol Otus)

Dans le courrier des lecteur, encore un tolkieniste qui réagit à l'article sur les elfes (ce n'est pas le même que la dernière fois, cette espèce pullule).

Gandalf was only a fifth level magic-user (et Sauron, à peine huitième niveau). Un article au titre provocateur, s'il en est. En se basant sur les sorts lancés par Gandalf dans Bilbo le Hobbit et Le seigneur des anneaux, Bill Seligman nous démontre que Gandalf n'a guère lancé de sorts puissants.
Idem. pour Sauron.
Les quelques démonstrations de puissance peuvent aisément être expliqués par l'utilisation d'objets magiques (bâton, Palantir). La seule faille dans son analyse, c'est la résistance de Gandalf face au Balrog. Néanmoins, Bill retombe sur ses pattes en affirmant qu'il s'agit plutôt d'une erreur dans le système de combat de D&D. Encore un qui a dû finir économiste libéral…
Rolemaster et JRTM, quelques années plus tard et l'inflation aidant, lui donneront un peu plus que cinq niveaux dans Les rangers du Nord.

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