lundi 9 septembre 2013

Dragon Magazine, Novembre 1978, Vol. 3 no 6, #20

Halloween oblige, les démons, la mort et la sorcellerie sont à l'honneur dans ce numéro, mais Traveller/Imperium tiennent la seconde place.

Une classe de PNJ, la sorcière (c'est toujours mieux que le ninja, mais, personnellement, je ne saisis pas trop l'intérêt de ces classes de PNJ, si ce n'est proposer une sorte de « monstre » humain, le terme « monstre » étant à prendre au sens D&D® du terme : toute créature vivante qui n'est pas un joueur et donc, potentiellement, un adversaire à combattre).

Demonology made easy or How To Deal With Orcus For Fun and Profit, un long article sur la façon d'invoquer des démons (ou des « devils », une distinction qui m'est toujours passé par-dessus la tête) : il faut trouver son nom, sacrifier des gens ou des bestioles, négocier un pacte. C'est long, laborieux et risqué pour un personnage.

Demonic possession in the Dungeon remarque que la capacité de posséder quelqu'un est fréquemment citée dans la littérature et la culture classique, mais n'est pas mentionnée dans la liste des pouvoirs démoniaques de D&D®. Toutefois, il ne s'agit que de règles. Bof.

Une double page de photos où l'on peut découvrir Élise Gygax donnant divers prix à diverses sommités (Marc Miller, Greg Costikyan, Ed Simbalist, mais aussi Lou Zocchi et sa marionnette (!), Eric Holmes, et d'autres. Rien que pour cette double page, j'imagine que ce numéro vaut son pesant de d20 pour les collectionneurs.

Une avant-première du dessin animé de Ralph Bakshi sur le Seigneur des Anneaux. On y apprend que Stanley Kubrick et John Boorman s'y sont cassé les dents. L'auteur est plutôt enthousiaste.

It’s a good day to die (Death Statistics of D&D® Players) : une étude statistique en provenance de Saskatoon ! C'est rigolo, mais je n'imagine pas le travail nécessaire pour noter les différentes façons de mourir pendant 4 ans dans plusieurs campagnes (soit un millier de morts recensées par l'auteur, en comptant les « hirelings », cette chair à canon bon marché dont s'entourent les PJ).
Bref, un numéro distrayant.

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